Le Mas Nouguier prend forme. Après le vin et les vignes, que les scolaires viendront bientôt vendanger à l’aide du cheval de labour ; après les ruches et le miel dont la première récolte a tout juste un an, voici l’huile et les oliviers.
Samedi à midi, les élus de la municipalité étaient ainsi nombreux, autour du dernier des 135 arbres restant à planter sur cette oliveraie de 5 800 m 2 . L’olivier, symbole de sagesse et de paix.
De quoi inspirer Christophe Moralès, conseiller général du canton et « tous ses amis »élus de la municipalité, de Philippe Saurel à Serge Fleurence, de Frédéric Tsitsonis à Michaël Delafosse. Tous « amis » et concernés par la biodiversité du Mas Nouguier. « Son évolution est généreuse. C’est du développement durable bien pensé avec des logements, du logement social, de l’accession à la propriété, et un équilibre entre l’espace bâti et non bâti. » Dix-huit hectares de culture sur l’agriparc. Et, désormais, l’oliveraie. « Qu’est-ce que l’oléiculture ? Comment pousse un olivier ? Comment on le taille ? On le traite en sachant que l’ensemble du domaine est en agriculture biologique, en phase de certification. Voilà ce qu’on souhaitait montrer aux enfants », souligne Philippe Croze, directeur des espaces verts. À ses côtés, Serge Fleurence a concrétisé ce projet en manoeuvrant le boîtier destiné à mettre en terre le dernier des 135 oliviers. Dans un an, la récolte. Le choix des architectes pour le groupe scolaire des Grisettes sera fait le 15 septembre.
Cool ! On va enfin avoir du nouveau pour ce groupe scolaire tant attendu !